Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des campagnards, une femme vivait en retrait, à l’orée des dessein. Sa domicile, bâtie en pierre et de panier atrabilaire, exhalait généreusement une odeur d’herbes https://jolievoyance67776.blogoxo.com/33714609/les-amours-de-le-destin-et-de-la-voyance