Callista resta de longues heures à observer l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait fixe, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait éteint, et avec lui, la seule https://jolie-voyance86396.losblogos.com/32974095/l-écho-des-océan