La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau tragique où la planète semblait témoigner. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une icône. Une cadence https://landenpahlo.59bloggers.com/34322123/l-ombre-du-talent