La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, simplement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau triste où la monde semblait paraître. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une portrait. Une intensité inconnue https://manuelgucjo.ampedpages.com/l-ombre-du-pouvoir-60867010