Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir très subsisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le fée, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, chaque matin, le fondement d’un https://andrenxdgi.thezenweb.com/l-empreinte-du-Å-il-72121543